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nutrition — 12 min de lecture — par Rémi
Aujourd'hui, il n'est pas rare d’être concerné par un manque de fer – et de peiner à en récupérer suffisamment malgré de vrais efforts au quotidien.
Quoi de plus frustrant ?
En France, plus d’une femme sur quatre en âge de procréer présente un déficit en fer. Et la statistique grimpe jusqu’à une adolescente sur deux entre 15 et 17 ans.
Des symptômes difficiles à cerner car très communs (fatigue, brouillard mental, difficulté de concentration, souvent malade), une carence banalisée… et des conséquences sous-évaluées.
Traitées comme ordinaires et sans grande réactivité, les implications du manque de fer vont pourtant bien au-delà des statistiques et affectent notre vitalité et notre santé à long-terme.
Des conséquences regrettables, d’autant qu’il est simple de mettre en place ce qu’il faut pour s’assurer un apport optimal.
Simple… et délicieux même ! On va le voir, on retrouve de belles saveurs et des possibilités ultra-gourmandes parmi les meilleures sources de fer pour le petit-déjeuner. Et ce, qu’importe votre régime alimentaire — hello les végans !
À la clé : un vrai coup de boost pour notre énergie au quotidien, notre concentration et notre confort de vie. Et pour notre pleine santé !
nümorning décrypte et passe à l’action !
Comme d’habitude dans cet article, vous retrouverez des explications simples et utiles (pour les plus curieux) et du pratico-pratique pour un maximum de concret et de passage à l’action.
Nous l’avons conçu comme un guide, dans lequel vous pouvez vous balader et aller directement aux chapitres qui vous intéressent.
Au programme, nous allons :
Vous êtes prêts ? C’est parti !
Comme l’explique Philippe Cayot, professeur des universités à l’Institut Agro Dijon et spécialiste de la question du fer sur ses aspects nutritionnels : on peine à prendre la mesure de l’importance du fer pour la Vie.
4ème élément le plus présent sur Terre, le fer fait partie des métaux dits “de transition”. De ce fait, il est à même d’échanger facilement des électrons et va, ce faisant, donner aux molécules auxquelles il est attaché des propriétés bien spécifiques.
Concrètement : loin d’être un minéral banal, le fer est un élément essentiel au cœur de fonctions biologiques uniques.
Quand on parle des rôles du fer, on commence souvent par parler d’hémoglobine et de myoglobine. Et pour cause, puisqu’avec ces deux protéines, il est tout bonnement question de l’acheminement de l’oxygène depuis nos poumons jusqu’à chacune de nos cellules.
De la captation de l’oxygène à son acheminement (hémoglobine) en passant par son stockage et sa libération en cas de besoin (myoglobine), le fer est le chef d’orchestre de l’oxygénation de l’organisme.
Vous vous souvenez de cette histoire d’échanges d’électrons ? Elle est au cœur de ce deuxième rôle essentiel du fer dans notre pleine santé.
En effet, le fer intervient dans la chaîne respiratoire des mitochondries : une façon pas très parlante de dire qu’il va permettre de déclencher toute une série de réactions chimiques complexes permettant la production d’énergie à l’intérieur même de nos cellules.
Le phénomène est aussi passionnant que complexe, et voit se dérouler au niveau des mitochondries (de minuscules composants logés dans nos cellules et qui jouent le rôle de mini-centrales électriques) un jeu de transfert d’électrons, de protéines en protéines.
Pour se donner une idée, on peut voir ces électrons libérés par le fer, sauter de branches en branches comme des singes dans une forêt.
Ce remue-ménage génère de l’énergie et permet d’alimenter nos cellules en énergie.
Ici, on dézoome. On quitte le mécanisme de production d’énergie à l’échelle cellulaire pour s’attaquer à plus gros, avec l’extraction d’énergie depuis nos repas.
Le fer, associé à certaines enzymes, facilite la dégradation des glucides, des lipides (graisses) et protéines pour en extraire de l’énergie.
Pour prendre la mesure du rôle du fer ici, on peut voir ces trois macronutriments comme des "blocs de construction" renfermant de l’énergie, et le fer comme l’outil de démontage adapté qui permet 1) une mise en pièces méthodique et 2) l’utilisation de l'énergie stockée à l'intérieur.
Concrètement, c’est comme si le fer aidait à extraire l'énergie emprisonnée dans nos aliments.
Le fer, toujours associé à certaines enzymes, participe à la neutralisation de substances nocives pour l’organisme.
En les rendant inactives ou moins nocives, ces enzymes vont permettre l’élimination des éléments indésirables et coordonner une véritable détoxification en continu.
En contribuant à la fabrication des globules blancs, le fer se fait la charpente de notre caserne à soldats anti-infections.
Il est un des composants clés de notre bouclier contre les agents pathogènes, et c’est entre autres pour ça qu’en cas de carence, comme nous le verrons un peu plus loin, nous avons tendance à être souvent malades et à systématiquement attraper le virus du moment.
Le fer contribue à la régulation de certains neurotransmetteurs comme la sérotonine et les catécholamines (dopamine, adrénaline, noradrénaline).
De façon très schématique, les neurotransmetteurs sont des substances chimiques qui facilitent la communication entre les neurones.
La sérotonine influence des aspects tels que l'humeur et le sommeil, tandis que les catécholamines, telles que la dopamine et la noradrénaline, sont impliquées dans la régulation de l'énergie, de la vigilance et de la réponse au stress.
Le fer joue un rôle crucial dans le maintien de l'équilibre de ces neurotransmetteurs, impactant ainsi directement notre bien-être émotionnel et mental.
À cette liste déjà très convaincante de l’intérêt de fer pour la pleine santé s’ajoutent d’autres casquettes comme celle de la fonction antioxydante ou de la contribution à la synthèse de l’ADN…
De quoi mettre en lumière l’extrême polyvalence du fer dans notre démarche de pleine santé et d’un quotidien plein d’énergie ; et l’importance de s’assurer d’en obtenir suffisamment dans la journée.
Pour se faire une idée de nos besoins en fer, prenons un peu de perspective et penchons-nous ensemble sur :
Chez l’adulte, en général, on retrouve entre 2,5 et 4g de fer dans le corps en permanence.
Vous vous souvenez de ce qu’on a dit au sujet du rôle du fer dans le transport de l’oxygène ? Ça nous a amené à parler de :
Et bien 70% du fer de notre corps se trouve dans ces deux protéines.
Chaque jour, de façon naturelle, nous perdons du fer :
Ces pertes vont de 1mg par jour pour un homme adulte et peuvent grimper jusqu’à 5mg pour une femme en âge de procréer.
Et si, au regard des 2,5 à 4g de fer dans notre corps, on pourrait se dire que la perte est minime — et qu’il est de toute façon plutôt facile d’obtenir ces quelques mg perdus dans notre alimentation puisque par exemple, une poignée de noix de cajou contient 1,5g de fer ou encore qu’une portion de patate douce peut nous amener jusqu’à 2g — il faut avoir en tête une info essentielle : tout le fer qu’on consomme ne va pas être absorbé.
Pour notre poignée de noix de cajou par exemple, qui d’après ses valeurs nutritionnelles renferme 1,5g de fer, on ne récupère finalement à l’arrivée qu’entre 0,05 et 0,2mg.
Pourquoi ? Pour tout un tas de raisons que nous allons détailler plus loin dans cet article et qui nous amèneront à parler, entre autres, de :
Nos besoins en fer varient énormément en fonction de l’âge, du sexe, de la qualité de notre absorption des nutriments, de nos habitudes alimentaires ou encore du moment de notre vie (les femmes enceintes ont des besoins en fer spécifiques).
On peut néanmoins dégager des fourchettes pour se donner une idée, et dire que les apports recommandés pour une jeune femme sont en moyenne de 25 mg de fer par jour, de 12 mg pour l’homme et de 6 à 10 mg chez l’enfant.
À la lecture de ces chiffres, vous pouvez vous demander pourquoi ces besoins dépassent largement les pertes dont nous avons parlé juste avant. On a en effet parlé de pertes de l’ordre de 1 à 5 mg par jour, et on se retrouve avec des besoins de 12 à 25mg. Ce qu’il faut savoir, c’est que nos besoins en fer ne se limitent pas seulement à compenser les pertes naturelles, mais incluent également la quantité nécessaire pour diverses fonctions de l'organisme (souvenez-vous des rôles qu’on a listés plus haut avec la synthèse de l’hémoglobine et de la myoglobine, la fabrication des globules blancs, etc).
Donc à l’arrivée, si on revient à notre petit calcul avec notre poignée de noix de cajou, on passe de 1,5g de fer contenu dans notre portion (ce qui nous semblait énorme), à 0,05mg réellement absorbés… qui nous semblent à l’arrivée bien peu au regard des 12 à 25g qu’il faut viser.
La question du fer est donc à prendre en considération. On ne peut se permettre de la laisser de côté et de laisser notre jauge de fer se remplir “au gré du vent”.
S’assurer d’obtenir du fer en quantité suffisante est un pilier d’une démarche de pleine santé optimale, et nous sommes très heureux chez nümorning de pouvoir vous proposer des recettes riches en fer, et de vous aider à faire de votre petit-déjeuner ultra-gourmand un pilier de vos apports !
Vous avez déjà probablement entendu ou lu les termes fer héminique et fer non héminique, qui sont très souvent suivis d’une discussion sur le végétarisme et le véganisme.
Si on devait résumer la réflexion qui les entoure, voici ce qu’on pourrait noter :
On se retrouve donc avec deux types de fer, dont un auquel on a accès qu’avec des aliments d’origine animale. Et ce qui va alimenter le débat sur le végétarisme, c’est que le taux d’absorption n’est pas le même d’un type à l’autre.
Le fer héminique (viande) est absorbé à hauteur de 25% tandis que le fer non héminique est absorbé, lui, à hauteur de 10%.
Le végétarisme et le véganisme nous amènent donc à se passer du fer le plus facilement absorbé.
Est-ce une raison pour revenir sur vos pas si vous vous êtes engagés dans cette voie ? Non, absolument pas, il s’agit simplement d’une info à prendre en compte.
Et d’ailleurs, une statistique intéressante, ou plutôt, une non-statistique que l’on peut lire sur le site de Thierry Souccar, éditeur et directeur de LaNutrition.fr : “les végétariens ne sont pas particulièrement touchés par le déficit en fer, ce qui prouve qu'on peut avoir un statut satisfaisant en fer même si on ne consomme pas de viande”.
Enfin, pour montrer que la nuance est résolument le maître-mot en matière de nutrition : on peut noter que selon une étude espagnole de 2013, le fer contenu dans les produits animaux augmente le stress oxydatif contrairement au fer issu de végétaux.
Aborder la question du fer et de nos besoins, ce n’est pas simplement parler de types de fer et de quantités. C’est aussi parler de ce qu’on consomme avec.
Quand certaines associations ont un pouvoir facilitant pour l’absorption du fer, d’autres au contraire vont l’entraver et gaspiller parfois d’excellentes sources d’apport présentes dans nos assiettes.
Pour tirer le meilleur des aliments riches en fer dans notre alimentation, voici la liste des principaux facilitateurs, accompagnée de celle regroupant au contraire les substances qui limiteront l’absorption du fer et vous mettront des bâtons dans les roues.
Pour limiter l’impact du café et du thé sur l’absorption du fer, il est recommandé de ne pas les consommer :
Pour cette liste spéciale petit-déjeuner, nous avons écarté les sources comme la viande ou les légumineuses, qui n’auraient pas forcément convaincu beaucoup d’entre vous pour accompagner votre chaï latte, mais nous avons tout de même laissé les algues, que vous pouvez retrouver dans des formes faciles à consommer le matin à la fin de votre petit-déj et qui représentent une excellente occasion de faire le plein de fer.
On pense notamment à la spiruline et à la chlorella, que vous pouvez trouver en comprimés, en paillettes ou en poudre, et que vous pouvez facilement prendre avec un verre d’eau le matin.
Note technique : l’élaboration de cette liste s’est appuyée en grande partie sur la Nutrition Coordinating Center Food & Nutrient Database (NCCDB), l’excellente base de données gérée par l’Université du Minnesota.
Une consommation régulière de ces algues, notamment la chlorella et la spiruline (plus facile d’accès), contribue à sécuriser un apport en fer optimal sans avoir recours à des compléments (en fait, on peut les voir comme des compléments naturels).
Pleines de bonnes choses, elles sont souvent présentées comme des superaliments, et ce sans aucune exagération. Leur densité en vitamines et minéraux, en protéines et donc en fer biodisponible en font un allié santé remarquable.
Il existe toutefois certaines précautions d’emploi, toutes récapitulées dans un article court et très instructif sur le site de Thierry Souccar.
Les graines
Comme très souvent lorsqu’on parle de chiffres avec l’alimentation, il est important de mettre les choses en perspective.
On pourrait très facilement classer ces sources de fer et se concentrer sur le top 5 par exemple, délaissant sans trop hésiter les suivantes.
Mais n’oublions pas que tous ces aliments ne se mangent pas dans les mêmes proportions par exemple.
Vous consommerez plus facilement 100g de farine de soja ou de sarrasin que 100g de spiruline ou de cacao en poudre par exemple.
Ensuite, gardez en tête que la teneur en milligrammes pour 100g de ces aliments n’est qu’un membre d’une équation en comptant bien d’autres, comme la quantité que représente une portion moyenne donc, mais aussi :
Se diriger dans une liste d’aliments comme celle-ci et trouver son chemin, ce n’est pas une réflexion objective mais subjective. Il y a plusieurs facteurs à prendre en compte, et aucune unité de mesure commune.
Concrètement : vous ne pouvez pas mettre en relation la teneur en fer d’un aliment et le plaisir que vous avez à le manger le matin au petit-déjeuner, et obtenir un chiffre que vous pourrez comparer avec d’autres aliments.
Votre meilleure compétence pour utiliser ce tableau, ce n’est pas votre capacité d’analyse ou de calcul, c’est votre curiosité.
La curiosité est une véritable compétence quand il est question d’alimentation aujourd’hui. C’est elle qui vous permettra de tirer le meilleur de cette liste et d’optimiser vos apports en fer.
Comme on le disait en introduction, il est aujourd’hui très facile d’être concerné par le manque de fer, et ce pour plusieurs raisons :
En parallèle, l’augmentation des cas pour certaines pathologies impliquant une inflammation de l’intestin (épisodique ou permanente), comme l’endométriose ou le syndrome de l'intestin irritable (SII), expose aujourd’hui naturellement plus de personnes à des carences — de par la baisse du niveau d’absorption occasionnée.
Autant de signes qui peuvent être indicateurs de nombreux autres dérèglements. Le lien à un manque de fer n’est donc pas une réponse logique et évidente au cumul de quelques symptômes de cette liste.
On notera également que le manque de fer se fait l’allume-feu de plusieurs autres problématiques comme l’anxiété et la dépression. Il serait même en cause dans le syndrôme des jambes sans repos.
En plus d’être difficile à cerner, la carence en fer tend à être banalisée et traitée sans grande réactivité.
Comme le rapporte la jeune journaliste Lola Buscemi dans un article dédié à la question du manque de fer chez les femmes : cette négligence s’explique par certains spécialistes par “la banalisation des troubles féminins”.
Elle rappelle également que les principaux signes du manque de fer, tels que la sensation de faiblesse, la fatigue ou l’irritabilité, sont souvent considérés comme normaux dans la vie des femmes.
Une conséquence regrettable des mentalités limitées et dépassées qui persistent encore dans notre société, et qui met en lumière la nécessité d'un changement profond dans la perception de la santé des femmes.
Alors qu’on peine à donner de la considération au manque de fer, certains indicateurs de santé utilisés pour diriger les politiques de santé publique nous montrent qu’en réalité, nous n’avons pas seulement affaire à une carence qui mériterait d’être au moins prise au sérieux, mais à un enjeu majeur de santé publique.
La carence en fer est considérée comme la première cause de perte d'années de vie en bonne santé dans le monde (via le paramètre DALY). En France, elle représente un poids significatif dans les années de vie perdues en bonne santé, surtout chez les femmes de 25 à 44 ans.
On pense souvent à la femme et notamment à l’adolescente, et à raison : en France, 32% des femmes entre 25 et 44 ans sont sujettes à une carence en fer.
Un chiffre significatif et qui grimpe jusqu’à 44% des jeunes adolescentes entre 15 et 17 ans.
Souvent oubliés des publics à risque, les pratiquants de course à pied longue distance peuvent, eux aussi, être sujets à de l'anémie assez facilement.
En cause, une perte de fer due à une sudation importante sur des temps généralement très longs et un volume d’urine élevé, et de l’autre côté, des besoins accrus par une forte demande en oxygénation et en énergie.
Pour les femmes en âge de procréer et amatrices de course à pied, vous l’aurez compris : la question du fer a tout pour être centrale.
Tout d’abord, abordons la réponse la plus fréquente : les médicaments sans ordonnance type Tardyferon, Fumafer et Ascofer.
Sources de nombreux inconforts (nausées, constipation, diarrhée, douleurs abdominales ou vomissements), ces options tendent à ne plus convaincre.
Et on peut comprendre ! D’autant qu’il existe aujourd’hui des compléments alimentaires de très bonne qualité qui ne nous exposent en rien à de tels inconforts.
Souvent associés à de la vitamine C pour maximiser l’absorption du fer, les compléments que l’on peut trouver aujourd’hui sur le marché sont un outil précieux pour celles et ceux qui font face à un manque de fer.
À condition bien sûr qu’ils soient de bonne qualité, ils peuvent nous aider à éteindre l’incendie et gérer les premières semaines de notre plan d’action.
Peut-on s’en remettre à la prise de compléments pour assurer ses besoins en fer ? L’option est tentante, mais le meilleur usage sera pour sûr celui d’extincteur.
D’autant que des études ont montré que cette solution, seule, était inefficace sur le long-terme.
Vous êtes en proie à un manque de fer ?
Le plan idéal, validé et supervisé par votre médecin, pourrait être de mener trois actions simultanées.
Prêt en 5 minutes, voici un exemple parfait pour les gourmands en quête d’un début de journée plein de saveur et de croquant.
Bol
Boisson
Avec un délicieux petit-déjeuner comme celui-ci, c’est plus de 18mg de fer à votre actif dès le matin !
Et vous ne faites pas que le plein de fer. Vous récupérez également une des meilleures sources d’oméga-3, des fibres, et un paquet de vitamines et de minéraux.
Pour être complet, on notera qu’il n’y a ni thé ni café, et qu’on a bien pensé à ajouter une source de vitamines C.
Gourmand et simple à préparer, il n’aura jamais été aussi facile et délicieux de faire le plein de fer au petit-déjeuner.
Pancake
Mélangez tous les ingrédients et faites cuire à feu moyen (attendez que des bulles se forment pour retourner le pancake de l’autre côté)
Topping
Boisson
Avec ce petit-déjeuner ultra-gourmand, vous attaquez votre journée avec plus de 25mg de fer.
Là encore, avec la banane, on récupère un peu de vitamine C pour améliorer l’absorption du fer et on évite le thé et le café avec un délicieux chai (qui en plus, nous apporte une dose de fer colossale via le lait végétale).
Pour booster ce petit-déj, vous pouvez opter pour de la farine de soja dans votre pancake et grappiller encore un peu de fer.
L’option préférée des pressés peut très facilement se booster en fer. Regardez plutôt :
Avec 20mg de fer, ce smoothie crée le départ idéal pour atteindre vos apports journaliers.
La team porridge peut se rassurer, il est très facile de booster son petit-déjeuner préféré pour en faire une excellente source de fer !
Porridge
Topping
Boisson
Plus de 24mg de fer pour ce délicieux porridge à la cannelle !
L’accompagner de notre Moon Milk vous permettra d’ajouter de la profondeur à votre palette de saveurs, et du fer, encore et toujours, avec votre base lait d’amande.
Banalisée, la question du fer est pourtant au cœur de notre :