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nutrition — 8 min de lecture — par Rémi
Ballonnements, constipation, digestion compliquée et ventre lourd font malheureusement très facilement partie de notre quotidien.
Un inconfort quasi-permanent dans lequel beaucoup se retrouvent complètement enlisés, et qui s’accompagnent (à la longue) d’un manque d’énergie et d’une frustration pesante.
Si c’est votre cas, ne désespérez pas, on a de chouettes nouvelles pour vous !
Dans cet article, on va voir ensemble :
Et il y a de quoi se réjouir !
Amélioration des troubles du transit, renforcement de la barrière intestinale, aide à la gestion de l’inflammation, les dernières études effectuées sur la souche de DIGEST soufflent un vent de fraîcheur et de légèreté pour les habitués de l’inconfort intestinal.
Et plus encore ! Puisqu’on parlera également de prévention de la cystite et de récupération pour les sportifs.
On se lance ? Vous allez voir : il n’a jamais été aussi gourmand de prendre soin de sa flore intestinale !
Ces dernières années, à mesure que la recherche sur le microbiote intestinal progressait, les spécialistes en sont tous venus à la même conclusion : il est finalement très difficile de trouver un mécanisme de l’organisme dans lequel le microbiote n’intervient pas.
Et tout ça de manière très concrète !
Par exemple, environ 50% de notre dopamine est produite dans l’intestin sous l’influence de notre flore intestinale.
Et les chiffres montent jusqu’à 80-90% pour la sérotonine (qu’on appelle carrément “l’hormone du bonheur” — et qui est nécessaire à la synthèse de la mélatonine, une hormone essentielle pour notre sommeil).
Pour les curieux, rendez-vous sur notre guide complet du microbiote intestinal, on liste un paquet de liens “microbiote - santé” très concrets.
La majeure partie du microbiote intestinal se trouve dans notre intestin et notre colon.
Lorsque nous mangeons, les micro-organismes qui le composent nous aident à démanteler les aliments et à absorber les nutriments ainsi extraits.
Et dans ce travail d’équipe, chaque partie y trouve son compte.
Le microbiote nous aide à digérer notre repas, et nous, nous lui laissons sa nourriture préférée : les fibres.
Si nous n’en ferons rien (on ne les digère pas à proprement parler), notre microbiote, lui, s’en régalera.
Et c’est là que la magie opère : en s’y attaquant, il va libérer des tas de composés chimiques différents, qui auront des effets très divers et qui donneront au microbiote ce côté “omniprésent” dans tous les mécanismes de l’organisme.
Les “bons micro-organismes” libèreront des composés bénéfiques qui iront par exemple renforcer la mécanique de la satiété ou nous protéger des problèmes métaboliques comme le diabète de type 2, et les “mauvais micro-organismes”, eux, auront tendance à libérer des composés néfastes en cause de l’inconfort digestif ou encore les ballonnements par exemple.
Lorsqu’il est épanoui, notre microbiote est équilibré : les bons micro-organismes sont en supériorité numérique et les mauvais micro-organismes sont tenus sous bonne garde — ce qu’on appelle “barrière intestinale” désigne en partie cette protection offerte par les bons micro-organismes.
Mais il arrive que cet équilibre soit perturbé (ponctuellement ou de manière plus franche et prolongée), et que :
Les conséquences peuvent être très nombreuses et comprennent dans la majeur partie des cas ces inconforts si pénibles : ballonnements, transit déréglé, digestion lourde et désagréable).
Et c’est plutôt logique : moins d’aide de la part du microbiote, c’est une digestion ralentie, plus complexe, moins fluide… sur laquelle se rajoutent en plus les méfaits des mauvaises bactéries en roue libre.
Pour les curieux, on vous renvoie à notre article sur la dysbiose (le déséquilibre du microbiote).
Les probiotiques sont des bactéries semblables à celles qui composent le microbiote.
Donc on peut concrètement les voir comme des renforts temporaires envoyés à notre flore intestinale.
Pourquoi temporaires ? Parce qu’ils ne s’installent pas vraiment. MAIS, ils vont tout de même créer un partenariat très bénéfique avec notre flore le temps de leur passage.
L’effet des probiotiques est bien réel, il est juste ponctuel — c’est ce qui explique la disparation des effets observés après l’arrêt de la prise des probiotiques en compléments, comme le rappelle l’expert français Philippe Marteau dans son ouvrage exceptionnel “Le microbiote intestinal - Un organe à part entière”.
Donc, en consommant des probiotiques, vous envoyez une escouade dans votre intestin pour prêter main forte à votre meilleur équipier santé (AKA votre microbiote), et cela va avoir plusieurs effets selon la souche de probiotiques.
On note dans la majeure partie des cas :
C’est la plus grande source de confusion sur le sujet.
Comme tous les aliments ne sont pas identiques et renferment des nutriments différents en proportions différentes, tous les probiotiques ne sont pas identiques.
Il existe des dizaines et des dizaines de familles de bactéries différentes, au sein desquelles on retrouve là encore des dizaines de bactéries différentes.
Toutes n’auront pas les mêmes effets, tout comme les aliments n’auront pas tous le même effet.
Comme le dit très bien Denis Richet, notre expert français en micronutrition : dire “je prends des probiotiques” revient à dire “je mange des aliments”. Ça ne signifie pas grand-chose en soi.
On dit que les effets des probiotiques sont “souche-dépendants” et qu’il est donc important de savoir de quelle souche on parle quand il est question des effets des probiotiques.
Et à cela on peut rajouter un autre point important, qui semblera logique et qui pourtant n’est pas toujours pris en compte : après la souche, c’est la quantité de micro-organismes consommée qui nous renseigne sur le potentiel des probiotiques.
Dans notre guide complet du microbiote, on utilise une image qu’on aime beaucoup :
Quand on est en proie à quelques soucis digestifs par exemple, et qu’on prend des probiotiques, du côté de notre microbiote, généralement, les choses sont un peu compliquées.
En fait, c’est souvent parce que notre microbiote connaît des turbulences que les inconforts se sont manifestés et qu’on en vient à prendre des probiotiques.
Et ça, ça veut dire que si on en prend et qu’on envoie donc des renforts dans notre intestin, on ne les envoie pas en croisière (loin de là).
Ce petit pépin côté flore intestinale peut être dû à du stress, de la fatigue, une alimentation peu riche en fibres, un trop-plein d’aliments transformés… autant de barrières à l’épanouissement de notre flore intestinale et qui rendra les conditions de vie de nos probiotiques assez difficiles.
Donc dans ce contexte, répondre au problème uniquement par des probiotiques n’aura rien d’une stratégie optimale.
Concrètement, on peut voir les choses ainsi : il y a le feu, notre microbiote (nos pompiers) est sur le coup, et nous lui envoyons des renforts… sans équipement.
Donc à part faire le pied de grue, ils n’auront pas beaucoup d’actions possibles. Pire ! Ils auront vite fait de terminer asphyxiés par la fumée.
Par contre, si en envoyant ces renforts (probiotiques), on envoie aussi des équipements (prébiotiques), on se retrouve avec une vague de pompiers parfaitement équipés, avec de l’oxygène, des lances à incendie et des réserves d’eau : tout ce qu’il faut pour agir efficacement et renverser la situation.
Vous voyez l’idée ?
De base, le petit-déjeuner est une occasion en or de faire le plein de fibres — et plus largement, de prébiotiques (on utilise souvent les termes “fibres” et “prébiotiques” de manière interchangeable, mais pour être plus précis, les prébiotiques peuvent être des fibres ET des polyphénols ou encore certains acides gras polyinsaturés).
Des fruits, des oléagineux, des graines, de l’avoine…
Que vous soyez team bol granola savoureux, team porridge onctueux ou team muesli croustillant, en vous préparant votre petit-déjeuner préféré, vous cochez déjà une belle case de l’alimentation santé dès le matin, sans même vous en rendre compte.
Vous en cochez même deux ! Puisque derrière une consommation de fibres optimale pour notre santé et l’épanouissement de notre flore intestinale, il y a l’idée d’une quantité de fibres à atteindre idéalement ET l’idée de variété.
Concrètement ? Chaque végétal a sa propre fibre et chaque micro-organisme au sein de votre microbiote a sa préférence. Donc en élargissant le panel des aliments que vous consommez régulièrement, vous vous assurez de contenter tout le monde !
Comme on le voit dans nos articles dédiés au microbiote intestinal, aux probiotiques et prébiotiques, ou encore au petit-déjeuner riche en fibres, le petit-déjeuner est parfois l’occasion de collecter plus de 10 végétaux différents.
Quand on sait que l’idéal est de consommer 30 végétaux différents en une semaine, en récupérer déjà 10 le lundi matin, c’est sacrément fort !
Et puis enfin, au petit-déj, en se tournant vers des alternatives bio et faibles en sucres comme nous sommes heureux de le proposer chez nümorning, vous vous protégez par la même occasion de deux grands ennemis de votre flore intestinale qui sont :
Il y a donc un excellent coup à jouer avec un petit-déjeuner sain et riche en fibres.
Et ce n’est pas tout ! Avec DIGEST, vous allez encore un cran plus loin…
Avec DIGEST, vous faites le plein de prébiotiques naturels dès que vous versez du granola dans votre bol.
Avant même d’ajouter quoi que ce soit d’autre (banane en morceaux, noix de cajou, graines de chia…), vous collectez déjà 4 prébiotiques différents avec :
Et ce n’est pas tout, puisqu’avec DIGEST, vous rajoutez donc des probiotiques à l’équation !
Avec chaque portion, ce n’est pas moins de 10 milliards d’UFC qui viennent prêter main forte à votre flore intestinale.
Ce que ça représente ?
Tout d’abord, compter en UFC, c’est compter concrètement, puisqu’il s’agit des Unités Formant Colonie — autrement dit : le nombre de bactéries encore viables dans le produits après le processus de fabrication.
Ensuite, aussi peu nombreux soient-ils, les granolas enrichis en probiotiques existants sur le marché américain affichent pour la plupart 1 milliard d'UFC par portion. Chez nümorning, nous avons décidé de multiplier ce dosage par 10 !
Pour mettre ces chiffres en contexte : beaucoup d’études portant sur la souche de probiotiques utilisées pour DIGEST font état d’effets significatifs à partir de 2 milliards d’UFC, certains montent à 5 milliards d’UFC…
Notre star se nomme Bifidobacterium Breve BR03.
Et si cette souche de probiotiques est particulièrement résistante à la chaleur, nous permettant de garantir un apport idéal à l’échelle d’une seule portion de granola, elle n’en est pas moins remarquable à bien d’autres égards.
Commençons par un portrait de famille !
B. Breve est issue de la belle et grande famille des Bifidobacterium, sur laquelle il y a déjà de chouettes choses à dire :
Passons maintenant aux effets spécifiques de la souche B. Breve BR03 et abordons ensemble quelques études clés.
Et faisons-le avec précaution : avec des données scientifiques, pensons scientifique.
Pour reprendre les mots d’une équipe de chercheurs espagnols à l’origine d’un excellent article publié dans la revue scientifique Microbiology Spectrum en 2017 : malgré la profusion de résultats positifs concernant l'utilisation des bifidobactéries dans le traitement et la prévention de diverses problématiques, il est nécessaire de poursuivre les recherches afin de renforcer la solidité des preuves scientifiques obtenues jusque là.
Observer des résultats, aussi probants soient-ils, est une première étape très encourageante qui permet déjà de déterminer le cadre d’utilisations précieuses pour le confort de vie de nombreuses personnes.
Mais elle ne doit pas se suffire à elle-même, et conduire la recherche à mettre en lumière les grands comment et les passionnants pourquoi derrières ces observations réjouissantes.
Mieux comprendre les mécanismes d’action, répliquer, affiner, la route est toute tracée pour la recherche ! Une marche en avant méthodique et minutieuse qui nous permettra avec le temps de gommer le conditionnel et de solidifier les affirmations.
Dans une étude italienne de 2010, des chercheurs en gastroentérologie ont démontré l’effet significatif de Bifidobacterium Breve BR03 chez des sujets sains en proie à des troubles du transit.
Ils ont pu ainsi noter :
Dans cette étude, Bifidobacterium Breve BR03 a été utilisé en association avec Lactobacillus Plantarum LP01.
Dans une autre étude italienne de la même année, des chercheurs ont démontré les effets bluffants de Bifidobacterium Breve BR03 sur le système immunitaire et la gestion d’inflammation — allant jusqu’à confirmer les résultats prometteurs dans son utilisation pour soulager le syndrome du côlon irritable (SCI) obtenues par une étude de 2004.
Cette nouvelle étude a montré que Bifidobacterium breve BR03 est capable d'induire une augmentation significative de la production de :
Dans une nouvelle étude italienne de 2019, des chercheurs ont confirmé les effets bénéfiques d’une association Bifidobacterium Breve BR03 / Lactobacillus Plantarum LP01 sur le système immunitaire et la gestion de l’inflammation — mettant une nouvelle fois en lumière son excellent potentiel de traitement et de prévention de l’inflammation intestinale, notamment par l’activation de la réponse Th2 et au profit de la réponse Th1.
Une confirmation précieuse qui n’est pas venue seule !
En plus de ces effets “globaux” sur le système immunitaire, les chercheurs ont mis en évidence la capacité de ces deux souches à “restaurer la barrière intestinale physiologique médiée par les jonctions serrées”.
En d’autres termes ? Ils ont participé au renforcement de la perméabilité intestinale.
Cette faculté essentielle de la paroi intestinale, à absorber les nutriments tout en faisant barrage aux substances indésirables, est absolument essentielle à notre pleine santé.
Lorsqu’elle est détraquée, et qu’elle laisse passer des éléments toxiques, le système immunitaire se lance à pleine vitesse et utilise l’inflammation comme premier levier de défense. A terme, les risques changent d’ampleur et cette barrière devenue perméable peut être la porte d’entrée à des maladies inflammatoires chroniques ou encore des maladies auto-immunes.
Cette notion de perméabilité intestinale est donc cruciale et rend tout agent protecteur / réparateur très précieux pour la santé à court, moyen et long terme.
En conclusion de cette étude, les chercheurs ont noté : “nos résultats confirment de manière significative les résultats précédemment dégagés dans la littérature scientifique, étendant leur attribution à l'espèce Bifidobacterium breve, qui pourrait être utilisée à la fois dans le syndrôme inflammatoire de l’intestin (SII) et la dysbiose intestinale chronique associée à une perméabilité intestinale altérée, comme celle rapportée dans la maladie cœliaque. Cela pourrait potentiellement contrer la progression des maladies inflammatoires intestinales chez les patients prédisposés.”
Dans cette étude, Bifidobacterium Breve BR03 a été utilisé en association avec Lactobacillus Plantarum LP01.
Dans une étude italienne de 2012, des chercheurs ont souhaité identifier les différentes souches de probiotiques efficaces contre la bactérie Escherichia Coli.
Son nom vous est peut-être familier : il s’agit d’une bactérie naturellement présente dans le tube digestif de l’être humain. Et si la majorité des souches d’E. coli est inoffensive, certaines sont malgré tout pathogènes pour l’être humain et peuvent causer des troubles variés.
C’est le cas pour la cystite, dont 90% des cas sont à mettre à la charge d’E. Coli selon le site ameli.fr.
La plupart des probiotiques testés dans cette étude ont été capables de contrecarrer la prolifération de 5 souches différentes d’E. Coli (dont O157:H7, une des plus problématiques), et on retrouve parmi eux notre star Bifidobacterium Breve BR03.
Dans cette étude, Bifidobacterium Breve BR03 a été utilisé seul, sans association avec d’autres souches.
Dans une étude américaine de 2016, des chercheurs ont mis en évidence l’impact d’un combiné Bifidobacterium Breve BR03 / Streptococcus thermophilus FP4 sur la récupération post-exercice physique.
Plus précisément, ils ont observé une réduction de la baisse de performance consécutive à l’exercice physique (le coup de pompe d’après séance), ainsi qu’une réduction des tensions musculaires dans les jours suivants.
Dans cette étude, Bifidobacterium Breve BR03 a été utilisé en association avec Streptococcus thermophilus FP4.
Bifidobacterium Breve BR03 est au cœur de nombreuses autres études, parfois plus spécifiques, comme cette étude slovène de 2015 effectuée avec des enfants atteints de la maladie cœliaque et chez qui l’administration d’un combiné Bifidobacterium Breve BR03 / Bifidobacterium Breve B632 a permis de réduire la production de substances pro-inflammatoires (cytokine TNF-α) — ouvrant la voie à une possible atténuation des symptômes inflammatoires de la maladie tels que les douleurs abdominales ou encore les troubles digestifs.
De la saveur dès le petit-déjeuner ! Comme le clament haut et fort de nombreux fans de DIGEST dans les commentaires.
Et puis vous mettez toutes les chances de votre côté pour :
Et ce n’est pas tout !
La cuisson de notre granola a été pensée pour préserver tous les nutriments des ingrédients qui le composent.
Ainsi, en plus de sa richesse en fibres, notre granola DIGEST est également source de zinc et de vitamine B3, trois des 4 nutriments clés d'une bonne digestion dont nous détaillons les bienfaits sur le blog.
Enfin, comme l'ensemble de nos recettes, notre granola DIGEST est composé d'ingrédients bio et contient 0% de sucres raffinés.
Avec moins de 5g de sucre par portion, ce granola fait partie des moins sucrés sur le marché (c’est ce qui revient le plus dans les atouts de DIGEST en commentaire).
Et ce, sans y perdre en goût, grâce à la purée de pomme (fabriquée en Haute-Loire) et au sucre de coco bio et équitable.
Pour vous donner un maximum de concret, et parce qu’on ne résiste jamais à l’envie de partager nos petits-déjeuners favoris, on vous a listé nos 3 façons préférées de dévorer notre granola DIGEST.
Le classique ! Simple, rapide à préparer, follement efficace : DIGEST est le granola parfait pour un bol complet sur une base yaourt.
Celui-ci, il ne peut nous lancer que sur une belle journée !
Avec un lait d’or à partir de notre Magic Golden et de lait d’amande par exemple, vous partez avec un plein de nutriments idéal et vous mettez toutes les chances de votre côté pour bien digérer et démarrer une journée légère et gourmande.
Les créatifs n’ont de limite que leur placard à petit-déjeuner !
A l'onctuosité d’un overnight porridge crémeux, on vient rajouter le croquant d’un granola léger et… ça fait de la magie.
Mélangez le tout, réservez au réfrigérateur, et rajoutez le lendemain :
Avec un chaï latte au lait de coco, vous posez les bases d’une journée douce et toute en saveur.
Si les créatifs n’ont de limite que leur placard à petit-déjeuner, les gourmands, eux, n’ont de limite que leur imagination.
Avec un fruit, vous avez la recette d’un snack hyper-nutritif et idéal pour vous redonner le petit coup de boost dont vous avez besoin (sur une note tropicale) !